Le Cercle des Poètes Disparus
Xavier Gallais
- Primé
- Carte jeune
- Succès Paris
- Durée : 01h30
MOLIÈRES 2024 :
• MEILLEURE MISE EN SCÈNE THÉÂTRE PRIVÉ
• MEILLEURE RÉVÉLATION MASCULINE POUR ETHAN OLIEL
NOMINATIONS :
• MEILLEUR SPECTACLE DU THÉÂTRE PRIVÉ
• MEILLEURE CRÉATION VISUELLE ET SONORE
• MEILLEUR COMÉDIEN POUR STÉPHANE FREISS
• MEILLEURE RÉVÉLATION MASCULINE POUR AUDRAN CATTIN
CRÉATION : JANVIER 2024 AU THÉÂTRE ANTOINE / PARIS
D’APRÈS LE FILM DE TOM SCHULMAN
ADAPTATION FRANÇAISE : GÉRALD SIBLEYRAS
MISE EN SCÈNE : OLIVIER SOLIVÉRÈS
AVEC EN ALTERNANCE : ETHAN OLIEL, HÉLIE THONNAT, AUDRAN CATTIN, YVAN GAROUEL, MAXENCE SEVA, PIERRE DELAGE, MAXIME HURIGUEN, OLIVIER BOUAN
« Oh Capitaine, mon Capitaine... »
Cette réplique du « Cercle des Poètes Disparus » résonne toujours. Pour la première fois en France le film est adapté au théâtre avec, dans le rôle du magnétique John Keating, Xavier Gallais (nominé au Molière 2025 du Meilleur Comédien pour « Dom Juan ») .
Professeur charismatique et iconoclaste, John Keating inspire ses jeunes élèves s’ouvrant à la vie, loin du carcan des conventions qu’incarne leur établissement.
Histoire émouvante et contemporaine, la pièce célèbre l’amitié, l’émancipation, la transmission au moment où se dessinent personnalités et destins.
Stéphane Freiss séduit par sa décontraction. Il joue à merveille cet anticonformiste et les six jeunes talents, déjà virtuoses, qui l’accompagnent forment une distribution époustouflante d’énergie. Un tourbillon théâtral de haute volée.
Un cri à la vie ! Un cri à la liberté ! Carpe Diem ! Carpe Diem !
« Vif, séduisant, brillant, Stéphane Freiss dégage en scène son charisme. Ses étudiants ont eux aussi humour et talent. Triomphe dans la salle pour cette histoire magique, drôle et triste. » TÉLÉRAMA
« Une ode à la liberté qui bouleverse et fait du bien. » L’OFFICIEL DES SPECTACLES
« LA pièce du moment dont tous les avis sont unanimes. » FNAC SPECTACLES
« Une mise en scène excellente, d’une éblouissante harmonie, aussi bouleversante et drôle que grave. » LA TRIBUNE